Au programme de la journée: visite de Guimaraes, puis piscine et bon bouquin à Santa Comba.

Mais d'abord, le footing devenu quotidien: comme d'habitude ça monte et ça descend, comme d'habitude pas simple de trouver des chemins de terre, dû à l'enthousiasme des portugais pour les petits pavés. J'en viens à rechercher la "souplesse" du goudron pour soulager mes genoux. Douche, puis petit déjeuner dans la salle commune, irréprochable.

Nous voilà prêts pour Guimaraes: en voiture. Tiens, à deux cent mètres de la Quinta, un grand restaurant que nous n'avions pas vu la veille. Ce doit être le restaurant dont le propriétaire nous parlait hier, ce sera pour ce soir. 20 minutes d'autoroute plus tard, nous arrivons à Guimaraes.

La visite de Guimares s'effectue en 3 étapes, du plus haut au plus bas: le Castelo (chateau médiéval des siècles X et XI), le Paço dos Duques (XVème siècle), puis la vieille ville.

On se rend bien compte en visitant le Castelo que Guimaraes est  le berceau du Portugal, même s'il n'est constitué essentiellement que de murs.

Le Castelo vaut aussi pour la vue splendide alentours, en particulier vers le Paço dos Duques qu'il domine.

Ce dernier a beaucoup plus à offrir en termes de décoration et mobilier et constitue une visite fort intéressante. 

Finalement la vieille ville, ses façades, ses balcons, ses touristes, dont nous-mêmes. Balade également fort agréable, même si la chaleur monte alors que le soleil arrive à son zenith: il est temps de se reposer sur une terrasse ombragée, et déguster une lemonada bien fraiche.

On est en début d'après-midi: retour à la voiture (ouf, ça monte!), puis à la quinta et plus précisément sa piscine.

Vous l'avez compris, fin d'après-midi tranquille, entre baignade et lecture, dans une ambiance champêtre fort agréable: il y a sur le terrain de la quinta un élevage de chiens, des chevaux, ânes, ainsi qu'une basse-cour avec toutes sortes d'oiseaux, oies, canard, cygnes, mais aussi des oiseaux exotiques.

Comme prévu nous dinons au grand restaurant près de la Quinta. Nous serons deux des rares clients, on se sentira donc un peu seuls, autour d'un bon repas.