Le blog de Carole et Jean-Claude

Nous arrivons à Cumbuco à environ 14 heures. Le taxi nous dépose juste devant la pousada Kite Cabana. Le proprio nous attendait. En quelques minutes nous prenons possession de notre chambre, le proprio m'écrit sur un bout de papier le code WIFI, et nous prenons possession des lieux. Visiblement, un repaire de Kite Surfeurs, au vu du matériel qui jonche le sol sous notre chambre (nous sommes au 1er étage d'une construction en bois qui n'a pas de rez de chaussée, l'espace servant de lieu de stockage / préparation des voiles et autres matériels). La piscine est minuscule et pas nickel, mais le proprio nous explique qu'il va la nettoyer dans l'après-midi.

Blog et emails obligent, je tente la connexion à Internet depuis le Netbook de Carole que nous avons amenés: échec. Je vérifie auprès du proprio, qui juste à l'instant a également perdu la connexion. Il appelle quelqu'un qui lui confirme que pour les 20 à 30 mns à venir c'est rapé. Qu'à cela ne tienne, nous sommes prêts à explorer les environs. Nous sommes à 50 ms de la plage, et en arrivant, nous avons apercçus dans le ciel les voiles des kite-surfs, et les alizés soufflent fort. Direction donc la plage.

Nous nous promenons une bonne heure. Au loin les gratte ciels de Fortaleza, au premier plan, Kite Surfeurs et Jangadas (barques traditionnelles des pécheurs).. Toujours présents: le soleil et les alizés. Nous comprennons pourquoi autant de kite surfeurs :-). Un arrêt sous une paillotte pour se rafraichir d'une lemonada , puis une visite au bureau d'information touristique complètent notre ballade. Nous y apprenons que le bus Vitoria peut nous ramener à Fortaleza jeudi, départ à 6:30 en face du bureau d'information touristique. On nous indique aussi la possibilité de tour en buggy ver les lagunes, tour d'une heure pour 140 reals. Ce sera pour demain. Nous rentrons à la posada.

De retour, nouvelle tentative de connexion Internet, toujours rien. On verra donc demain, pour l'heure, c'est donc le "repos du guerrier".

Le soir retour au village pour l'apéro Caipirinha maintenant déjà incontournable (à 5 reals pièce, c'est moitié prix que la veille au Boteco). Puis restaurant ... thai: c'est celui qui nous est apparu le plus avenant (il faut dire que le choix n'est pas des plus nombreux). Nous ne serons pas déçus, bon accueil et bonne assiette (125 Reals dont 29 pour une bouteille de vin rouge national, mention honorable).